Cadeau d’anniversaire, j’ai passé une nuit dans la chambre de l’Écrivain, à l’Hôtel des Consuls. C’est le nom de cette chambre qui m’attirait. Je n’ai pas été déçue. La chambre, au demeurant, se trouve placée sous sous le patronage de Raymond et Marie Louise Escholier, auteurs en 1920 du célèbre Cantegril. Adeptes du style californien, cette chambre, meublée dans le style des années 1920-1930, vous étonnera. Elle respire le charme du vieux temps. J’aime beaucoup. Je m’y suis plu. Et j’ai très bien dormi, sur un matelas et dans des draps étincelants, des plus confortables. La chambre donne sur un patio intérieur. Silence absolu. Et j’ai profité d’une superbe salle de bain moderne, avec baignoire et vaste douche à l’italienne. J’ai passé, disait-je, une des Mille et Une Nuits dans la chambre de l’Écrivain. Un vieux rêve, enfin réalisé.
20h43. Un verre à la terrasse de l’hôtel.
20h45. La façade de l’hôtel.
20h53. Au premier étage de l’hôtel, dans le couloir-bibliothèque qui mène à la chambre de l’Écrivain.
Au bout du même couloir, escalier qui donne, en bas sous la verrière, sur la patio intérieur.
Derrière l’hôtel, vue au travers de la verrière, l’ancienne maison Mondin (XVII-XVIIIe siècle).
20h55. J’entre dans la chambre de l’Écrivain.
Lumière douce au-dessus du lit.
Fenêtre et porte-fenêtre donnant sur un petit balcon, situé au-dessus du patio intérieur.
Oh ! la belle machine à écrire !
Oh ! les vieux bouquins au pied de la cheminée !
Vue partielle de la salle de bain.
Le lendemain matin. 7h15.
Photo de Raymond et Marie Louise Escholier dans leur jardin de Malaquit.
11h20. Devant l’Hôtel des Consuls, ressurgis de la profondeur du temps, quatre consuls !
Ça donne tout à fait envie d’y aller une première des Mille et une.
Merci !
Je découvre votre blog sur les conseils du dernier « consul » et je me réjouis à chaque visite.