Bona Annada !
Rédigé par Belcikowski Christine 8 commentaires
8 commentaires
#1
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Martine Rouche a dit :
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#3
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Gironce a dit :
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Vos merceji plan per vostris bonis vots en occitan.
E coma se dis aci: "vos souvaiti una bona annada, e força d'autras coma aquesta".
#4
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Denis Mahaffey a dit :
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Madame, par le hasard d'Internet, j'ai appris que vous avez connu Fanita de Pierrefeu. Je l'ai rencontrée plusieurs fois à Paris dans les années 70, quand elle est venue retrouver un ami philosophe et polonais que j'accueillais en ami. J'étais encore trop jeune pour maintenir le contact, mais je garde d'elle l'image d'une grande dame qui ne se comportait en telle qu'avec ironie. Je serais heureux d'avoir quelques informations à son égard, car elle ne figure sur les média que par rapport à des Occitans plus connus.
Je viens d'écrire, pour la rubrique que je contribue à un périodique de Soissons, quelques souvenirs de mon ami polonais qui vient de mourir du Covid, et le nom de Fanita de Pierrefeu y figure.
#5
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Belcikowski Christine a dit :
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Bonjour Monsieur,
J'ignore malheureusement qui est Fanita de Pierrefeu...
#7
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Denis Mahaffey a dit :
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Madame, j'ai oublié où j'ai trouvé un lien entre vous et Fanita de Pierrefeu. Voici, pour la placer, un extrait d'une autobiographie en ligne d'Yves Maris. Il y parle de la maison Hestia qu'avait ouverte Fanita de Pierrefeu à Montségur.
"C’est alors que je me mis à fréquenter la maison ouverte de Fanita de Pierrefeu, à Montségur. Elle l’avait baptisée « l’Hestia », en l’honneur de la déesse grecque du foyer. On y rencontrait toutes sortes de gens inattendus, philosophes ou adeptes de sectes bizarres. C’est en ce lieu que je fus initié à la pensée des cathares. Je me plongeai dans les lectures de Zoé Oldenbourg, de Déodat Roché et de René Nelli. La confiance entre Fanita et moi-même était si grande qu’elle envisagea de me céder une partie de sa maison, afin de vivre en bonne compagnie les longues journées d’hiver et de vieillesse. Le projet d’acte était prêt, quand j’eus l’idée de me marier et l’intention en resta là."
#8
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Gerald Honigsblum a dit :
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A Mme Christine Belcikowski
Editeur à Albi, je publie 4 témoignages de 1940, dont celui d'un Gilles Baratier de Rey sur l'exode de Reynaud-Hélène Deporte. J'ai repéré le triptyque de photos que vous avez posté en illustration. Me permettriez-vous de le reproduire, ou m'orienter vers la source? Vos conditions? 500 exemplaires, intérieur. Gerald Honigsblum 06 62 57 59 49
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