A voir sous le couvert Saint Antoine, sur un pilier situé à l’angle du couvert et de la rue Monseigneur de Cambon.
L’inscription est cette fois parfaitement lisible. C’est le blason des Jésuites, avec le M en dessous, pour Marie.
A partir de 1317, date de la promotion de Mirepoix au rang d’évêché, note François Descuns, directeur de l’école communale de la ville dans les années 1900, « de nombreux monastères s’établirent dans les différents quartiers de la cité et dans ses environs : les Bénédictins, les Cordeliers, les Pénitents blancs, les Pénitents bleus, les Trinitaires, sans compter les diverses communautés de femmes. […]. Mirepoix n’était plus la vieille ville féodale, c’était un immense monastère. » 1François Descuns, Mirepoix, pp. 36-37, Imprimerie J. Cassé, 1902 ; reprint Lacour/Rediviva, Nîmes, 1995.
Notes