Dans les gorges de Galamus et à l’ermitage Saint Antoine

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Ci-dessus : dans les gorges de Galamus, situées à la frontière du département de l’Aude et du département des Pyrénées-Orientales entre Saint-Paul de Fenouillet et Cubières-sur-Cinoble, et creusées par le petit fleuve Agly (des aigles), vue de l’ermitage Saint Antoine.

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La présence de l’ermitage Saint Antoine est attestée depuis le XVe siècle. Ce lieu a été aménagé par les moines Franciscains dans une grotte de la falaise. Il comprend dans ses étagements une église, surmontée d’un petit clocher, dont la cloche, paraît-il, porte bonheur aux nouveaux mariés. Divers ermites s’y sont succédé jusqu’aux années 1930. L’étrangeté et l’aura mystique d’un tel lieu attirent aujourd’hui nombre de curieux et de pèlerins.

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Ci-dessus : dans la grotte qui sert d’antichambre à l’église.

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Ci-dessus : dans cette même grotte, un petit bassin alimenté par les eaux de ruissellement qui viennent des parois et de la voûte rocheuse.

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Ci-dessus : dans le bassin, pièces de monnaie jetées par les nouveaux mariés.

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Ci-dessus : vu en plongée depuis la route, percée à coups de barre à mine en 1892, l’Agly. « Dins aquel roc pelat que trauco la sabino / Oun l’aglo dins soun bol gausabo soul beni… » Dans ce roc pelé que troue la sabine / Où l’aigle dans son vol osait seul venir… ((Léonce Rives, poète originaire de Saint-Paul de Fenouillet.))

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La traversée des gorges, qui s’étendent sur deux kilomètres, se fait à pied aisément. Grand spectacle garanti ! Mais attention au vertige côté abîme. Et attention aussi aux voitures, même si, très étroite, la route est en sens unique…

Une réponse sur “Dans les gorges de Galamus et à l’ermitage Saint Antoine”

  1. belle série surtout celles sans les oeuvres des hommes sauf leur petite maison blottie dans les rochers !

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