A Mirepoix – C’était, en 1766, l’entrée de la boutique Allard

 

Cliquez sur l’image pour l’agrandir. Elle montre une fenêtre, rue des Pénitents Blancs. Vous verrez qu’à la place de la fenêtre, il y avait auparavant une porte. Là, Joseph Alard ((Cf. A Mirepoix – En face de la maison de François Rouvairollis, qu’est-ce qu’il y a ?)) tenait jadis boutique, sous l’appartement de Barthélémy Clauzel et de Jacques Clauzel, prêtre, censément familier du séminaire immédiatement voisin.

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Une réponse sur “A Mirepoix – C’était, en 1766, l’entrée de la boutique Allard”

  1. Nul autre plaisir que celui de la coïncidence :

    Qu’Allard, sur la caricature
    De ce malcuit, de ce Dolet,
    Aille râler du Michelet,
    Que le Vieux Sçavant s’aventure
    A debrouiller son plagiat –
    Dieu les garde ! Mais tant y a
    Qu’un éditeur c’est bon à prendre,
    Et nos aïeux, en ayant un
    Sous la main, le menèrent pendre :
    Ainsi soit de tout importun.

    Paul-Jean Toulet, Les Contrerimes, Dixains, X, Gallimard, 1979, page 122

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