A Pamiers, rue Monseigneur de Caulet – C’était la maison rose…

« A l’ère industrielle, la pierre ancienne est menacée par la fonte et l’urbanisme moderniste. La modernité s’installant sur les ruines de la tradition, l’obsolescence présumée de ces édifices « inactuels » doit donc être renversée par la vigoureuse technicité des prophètes de la ville contemporaine… » ((Saint-Martin, Arnaud, Fossilisation de la mémoire collective et conservation pulsive des ruines d’antan. Du devenir des monuments anciens dans les villes modernes, Esprit critique – Revue internationale de sociologie et de sciences sociales, vol. 04 no. 02, février 2002))

A lire aussi :
A Pamiers, rue du Collège – C’était une maison rose…
C’était une maison rose – Retour sur le futur

2 réponses sur “A Pamiers, rue Monseigneur de Caulet – C’était la maison rose…”

  1.  » Now,
    The Pink Church
    trembles
    to the light (of dawn) again,
    rigors of more
    than she’d wisely
    be said at one stroke,
    singing !
    Covertly.
    Subdued.

    Sing !
    transparent to the light
    through which the light
    shines, through the stone,
    until
    the stone-light glows,
    pink jade
    – that is the light and is
    a stone
    and is a church – if the image
    hold
    as at a breath a face glows
    and fades !
    […]
    The Pink Church, 1949, in The collected poems of William Carlos Williams, volume II 1939-1962, pub. 1988.

Laisser un commentaire