Le repos de la graine. La fête au bord de l’eau
« – Y aurait-il une fête dans cette solitude ? se demanda-t-il… Il lui sembla bientôt que le vent lui portait le son d’une musique perdue. C’était comme un souvenir plein de charme et de regret. » 1Alain-Fournier. Le Grand Meaulnes. Chapitre XI : Le domaine mystérieux.
C’était hier, au lac du Mayrial. Pour une fois que celui-ci était ouvert, j’y ai couru ! Dommage, il faisait gris. Je me suis baladée dans le festival, j’ai fait le tour du lac, puis, m’éloignant au long des jardins, je suis rentrée au Rumat par la rue du Mayrial.
Ci-dessus : vue du clocher de la cathédrale Saint Maurice depuis l’entrée du lac du Mayrial.
Ci-dessus : entrée du festival, organisé par l’association Graine d’espoir. Les baladins étaient là, sous les arbres, au bord de l’eau.
Ci-dessus : plaque de talc dédiée aux enfants, chez le tailleur de pierre.
Ci-dessus : chez le tailleur de pierre, encore.
Ci-dessus : la donaferia.
Ci-dessus : le site du festival, vu depuis l’autre bord du lac. « Il lui sembla bientôt que le vent lui portait le son d’une musique perdue. C’était comme un souvenir plein de charme et de regret. »
Ci-dessus : dans un jardin, rue du Mayrial.
Ci-dessus : dans un jardin, rue du Mayrial.
Ci-dessus : dans un jardin, rue du Mayrial.
Ci-dessus : dans un jardin, rue du Mayrial.
A l’approche du Rumat et de la flèche de la cathédrale, il lui sembla que le vent lui portait le son d’une musique perdue. C’était comme un souvenir plein de charme et de regret.
References
↑1 | Alain-Fournier. Le Grand Meaulnes. Chapitre XI : Le domaine mystérieux. |
Geneviève at 2 h 37 min
oh si ! chouette chouette chouette toutes les photos ! et la phrase… la phrase qui revient… la phrase du Grand Meaulnes…
oh oui !