Analogies – En attendant Godot

 

Ci-dessus : à Mirepoix, chantier de démolition de la friche industrielle de la Copami.

 

 

 

Ci-dessus : Arnold Böcklin, L’île des morts, 1886.

2 réponses sur “Analogies – En attendant Godot”

  1. Je reste sans voix devant la beauté et la pertinence de ces analogies.
    J’apprécie, à titre très personnel, de voir l’église Notre-Dame-et-Saint-Michel dans son cadre originel ou presque : elle fut plantée par Anne d’Escala au bord interne du nouveau cimetière du temps, au milieu des vignes. Le vide et les ruines couchées qui l’entourent ici lui vont bien.

  2. J’aurais peut-être plus de chance avec ce commentaire, le précédent vous faisant part de la la poésie que je ressentais dans l’affirmation de « lui » à figurer une gargouille hors mode de l’horrifique en répandant le lait nourricier en l’occurrence « l’eau » …. pas possible de le faire partir !! vous savez que j’adore vos analogies même si lorsque j’étais enfant on me disais toujours »on adore que Dieu »

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