Ci-dessus : Claude Monet, Gare Saint-Lazare, détail, 1877.
Ci-dessus : gare de Pamiers, 20 novembre 2013 ; photo : La dormeuse.
Ci-dessus : Giorgio de Chirico, La récompense du devin, détail, 1913.
De l’immobilité des formes, de la circulation des nuages.
Juste fantastique ! Beaucoup d’entre nous apprennent ici (je suppose ? ) à ouvrir l’oeil, à capter, capturer jusqu’au(x) détail(s), sans oublier les bienheureuses analogies.
If beauty is in the eye of the beholder, then, lo and behold !
Quite right !