En marge du compromis de 1307 sur le communal de la rive gauche de l'Hers, quelques notes relatives aux premiers sénéchaux de Mirepoix et autres personnages homologues

Rédigé par Belcikowski 3 commentaires
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La lecture du compromis concédé en 1307 par Jean Ier de Lévis, seigneur de Mirepoix, aux consul et à la communauté de ladite ville à propos de l'usage et du statut usufruitier du communal de la rive gauche de l'Hers, est très instructive concernant divers détails de l'histoire de Mirepoix. Voici donc, inspirées de la lecture de l'ensemble des chartes de Mirepoix publiées avant 1307, quelques notes relatives aux premiers sénéchaux de Mirepoix et à quelques-uns de leurs homologues.

1. Cinq sénéchaux du seigneur de Mirepoix

De 1294 à 1304, les chartes recueillies dans le cartulaire de Mirepoix nous offrent l'occasion rare de connaître le nom de cinq des plus anciens sénéchaux de la seigneurie de Mirepoix i.e. de cinq de ces officiers de l'époque féodale qui se trouvaient chargés par le seigneur de la justice seigneuriale (haute, moyenne ou basse), et, dans le cadre de la cour qu'ils présidaient, de régler les litiges survenus dans le ressort de la seigneurie. On remarquera toutefois que ces cinq sénéchaux ne sont pas des hommes de loi, mais des milites, i.e. des hommes d'armes, proches en cela de l'homme d'armes qu'est encore, lui aussi, Gui III. Et il importe à Gui III, titulaire d'une seigneurie dont les précédents seigneurs ont été évincés, d'asseoir solidement son pouvoir.

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Extrait du dossier Lévis du Cabinet des titres de D'Hozier, volume Lévis-Lignières (Des), BnF, Département des manuscrits. Où l'on voit que le cabinet de M. d'Hozier se perdait déjà dans la généalogie lointaine de la maison de Lévis, puisque, comme on le remarque ci-dessus, Gui II se voit attribuer pour épouse Guiburge de Montfort, dont on tient aujourd'hui qu'elle a été l'épouse de Gui Ier, mais dont on ne sait toujours pas de façon sûre si elle était la sœur ou une simple parente du grand Simon de Monfort.

Guillaume de L'Estandart, père

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Essai de généalogie des familles Montfort et Lévis.

Guillelmus Estandardi [Guillaume de l'Estendard] est le premier sénéchal que l'on connaisse pour avoir exercé son office au nom d'un seigneur de Mirepoix, en l'occurrence au nom de Gui Ier, premier seigneur de Mirepoix issu de la maison de Lévis.

On ne trouve pas le nom de Guillaume de l'Estandart père dans le cartulaire de Mirepoix, parce que celui-ci ne comprend aucune charte datant de la seigneurie de Gui Ier. Mais la chronique veut par ailleurs que ce Guillaume de l'Estendart ait été, de façon compliquée, à la fois un descendant de Simon IV de Monfort, chef de la croisade contre les Albigeois, et un neveu par alliance de Gui Ier, puisque celui-ci avait épousé Guiburge de Montfort, sœur du même Simon IV de Montfort. Cette ascendance reste toutefois difficile à démêler.

On ne sait au demeurant rien de sûr concernant le lien que la branche languedocienne de la famille de L'Estandart entretient avec la famille de Montfort et la famille de Lévis. Toujours est-il que dans ladite chronique les deux Guillaume de L'Estandart, le père et le fils, qui ont été tous deux sénéchaux des Lévis, sont dits respectivement « neveu » et « cousin » de ces derniers.

Illustrant ainsi, en tout cas, la proximité que la famille de l'Estandart entretient avec la maison de Lévis, le Père Anselme de Sainte Marie rapporte dans le tome IV de son Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la Maison du Roy et des anciens barons du royaume que « Gui III transporta le mercredi après les Rois de l'année 1263, les droits qu'il avait sur les châteaux de Margerides et de Loupian, pour ceux que Guillaume l'Estendart avait sur celui de Mauléon ».

Arnulphus de Bordis

Arnulphus de Bordis se trouve nommé en tant que sénéchal de Gui III dans le cartulaire de Mirepoix, au décours de la charte datée de 1273, dans laquelle ledit Gui III concède à la population de Mirepoix de nouveaux privilèges. Il se peut que Bertrandus de Bordis, chevalier et sénéchal du comte de Foix en 1333, ait entretenu un lien de parenté avec Arnulphus de Bordis, sénéchal du seigneur de Mirepoix en 1273.

On ne sait rien d'Arnulphus de Bordis, sinon qu'il s'agit d'un miles [homme d'armes]. Claude Devic indique, dans son Histoire générale de Languedoc, tome VIII, que le 30 janvier 1271, Arnulphus de Bordis fait partie des témoins de l'acte de fondation de la bastide de Ribouisse par Gui III. B. de Bordis, son frère ou son parent, est alors moine et sacriste du prieuré de Manses.

Le nom d'Arnulphus de Bordis se trouve mentionné encore, avec celui de son successeur Guillelmus Estandardi [le père ou le fils ?], dans le testament de Gui III, daté du 10 août 1276 et recueilli dans le cartulaire de Notre Dame de la Roche :

Et nobiles viros, dilectos et fideles nostros Guillelmum de Arcisio, Guillelmum Estandardi et Arnulphum de Bordis, milites, et magistrum Joannem Vasconem, capellanum nostrum ; dantes et concedentes eisdem plenariam potestatem et speciale mandatum recipiendi de bonis nostris, vendendi et distrahendi, si opus fuerit, quod sufficiat ad complementum omnium predictorum ; obligantes eisdem executoribus ad hoc omnes nostros posteros et heredes et omnia bona nostra sub omni renunciatione et cautela.

[Et aux nobles hommes, nos chers et fidèles Guillelmus de Arcisio, Guillelmus Estandardi et Arnulphus de Bordis, hommes d'armes, et à maître Joannes Vasconis, notre chapelain, nous donnons et concédons plein pouvoir et mandat spécial de conserver, vendre ou soustraire tout ou partie de nos biens, si la chose doit se faire, en sus des autres mandataires susnommés ; et vous obligeons ainsi au rôle d'exécuteurs testamentaires au bénéfice de tous nos descendants et héritiers, et au prix de votre renonciation à tous nos biens, dont vous serez les cautionnaires.]

Guillelmus de Arcisio, dont le nom se trouve mentionné ci-dessus, est un frère ou un parent de Hugo de Arcisio, dit dans une Inquesta de alberga quorumdam militum seu canonicorum quam monasterium de de Quadraginta in locis de Crusio et de Montaniac (1244-1245), milites, senescallus Carcassonses pro domino rege Francie, homme d'armes, alors sénéchal de Carcassonne pour le seigneur roi de France.

Guillaume de l'Estandart, fils

Guillaume de L'Estendart, miles [homme d'armes], fils du précédent, se trouve mentionné dans le cartulaire de Mirepoix pour la première fois, en tant que sénéchal de Gui III, petit-fils de Gui Ier, dans une charte datée de 1294 1. Il se trouve mentionné une deuxième fois en octobre-novembre 1301, dans le projet de partage de la succession de Gui III.

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Bellegarde [du Razès] sur la carte de Cassini (en haut à droite sur l'image).

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Bellegarde-du-Razès aujourd'hui.

On apprend de ladite charte de 1301 que Jean Ier de Lévis tiendra désormais medietatem feudi de Bella Garda, videlicet illam partem quam tenet Guillelmus Estandardi [la moitié du fief de Bellegarde dont Guillaume de l'Estandart tient l'autre moitié] 2. On apprend également que François de Lévis, tiendra, avec son frère Gui III, medietatem feudi Bellegarde, quam tenet dominus Guillelmus Estandardi [la moitié du fief de Bellegarde dont Guillaume de l'Estandart tient l'autre moitié] 3. On apprend enfin qu'Eustache de Lévis, frère de Gui III et de François, tiendra un fief que incipit a medietate ville Florenciacii pro indiviso et terminatur ad feudum Galoti Estandardi [qui commence à la moitié de la ville de Florensac par indivision, et qui se termine à proximité du fief de Gallot de l'Estandart], cousin de Guillaume de l'Estandart fils 4. Guillaume de L'Estandart fils apparaît dans le cartulaire de Mirepoix pour la dernière fois en tant que témoin de l'acte de partage ci-dessus 5. Comme indiqué plus haut, Gui III rend hommage à son dévouement et à sa fidélité dans son testament du 10 août 1276.

Pierre de Sarnasio

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Cernay-la-Ville [Sarnasio], les Vaux-de-Cernay [valles de Sarnasio], et Lévis-Saint-Nom, sur la carte de Cassini.

Pierre de Sarnasio, ou de Sarnayo, est dit dans le cartulaire de Mirepoix baiulus Mirapiscis [bayle de Mirepoix] en 1273 6, puis senescallus [sénéchal] de Gui III en 1295 7.

Originaire des environs de Cernay-la-Ville (Yvelines), commune située en jointure des forêts domaniales de Rambouillet (14 km) et de Versailles/Saint-Germain-en-Laye (20 km), à 9 km de Lévis-Saint-Nom, fief originel de la maison de Lévis, Pierre de Sarnasio fait sans doute partie de ces feudatoriores nostri Gallicori [nos feudataires gaulois] que Guy III mentionne dans sa charte de juin 1289 8. Parmi les biens que Gui III conserve en Île-de-France, on sait par la charte de la fin de l'année 1301 que figurent entre autres sexcenta arpenta nemorum iuxta valles de Sarnasio, in fando et tenura [600 arpents de bois à proximité de Vaux-de-Cernay] 9.

Désormais installé à Mirepoix, Pierre de Sarnasio tient alors, entre autres, des biens situés infra terminos et pertinentias de Monte Cabirollo [entre les limites et les dépendances de Montcabirol] 10. Iohannes de Sarnayo, frère, fils ou autre parent de Pierre de Sarnasio, est témoin de la signature de ladite charte 11. Le 6 novembre 1300, Pierre de Sarnasio, toujours sénéchal, est témoin de la signature de la cédule présentée à Jean de Lévis par ses frères, pour l'inviter à choisir le lot qui lui conviendrait le mieux dans le projet de succession établi par Gui III 12. En juillet 1301, Odinus de Sarnasio, domicellus [damoiseau], fils de Pierre de Sarnasio, assiste à la signature définitive de l'acte de partage de la succession laissée par Gui III 13.

En novembre 1329, Gaston de Lévis et Jean de Lévis, co-seigneurs de Mirepoix, achètent la moitié des biens que heredes Petri de Sarnayo habebant infra terminos et pertinentias de Monte Cabirollo [que les héritiers de Pierre de Sarnayo tiennent entre les limites et les dépendances de Montcabirol] (p. 379) 14

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Montcabirol (écart de Mirepoix) aujourd'hui.

Philippe de Riparia

En octobre 1301 Philippus de Riparia, miles [homme d'armes], assiste en tant que témoin à l'établissement du projet de partage de la succession de Gui de Lévis III 15. Il est dit pour la première fois sénéchal de Jean Ier de Lévis dans une charte de 1304, relative au délaissement de maisons au bord de la rue qui conduit au pont sur l'Hers16. En juillet 1305, il est témoin du compromis arbitral passé entre Jean de Léuis, seigneur de Mirepoix, et son frère François de Lévis, seigneur de Lagarde et Montségur 17 ; en novembre 1306, il est témoin de l'arbitrage préalable au compromis forestier passé en février 1307 entre les consuls de Mirepoix et le commandeur d'une maison du Temple 18 ; en juin 1307, il administre avec beaucoup d'autorité un nouveau compromis entre les consuls et le seigneur de Mirepoix à propos de l'usage du communal de la rive gauche de l'Hers 19.

On ne sait pas grand chose de l'homme Philippus de Riparia, sinon que, milites tous deux, témoins tous deux de l'établissement du projet de partage de la succession de Gui de Lévis III en octobre 1301, dominus Iohannes de Riparia et dominus Philippus de Riparia [sunt] fratres 20, que tous deux aussi, ils sont coseigneurs de La Serpent, et que Philippus de Riparia est marié à une certaine Péronelle, et père de Guiotus de Riparia, domicellus (damoiseau) 21.

Dom Villevieille, dans le tome 51 de son Trésor généalogique, rapporte que, « le 9 avril 1281, Gui III est choisi comme arbitre d'un différend entre Roger II de Durfort, chevalier, Géraud et Raymond de Durfort, damoiseaux, d'une part, et Philippe de Riparia, damoiseau, et Péronelle, sa femme, d'autre part, touchant matière de justice ».

Comme indiqué dans le compromis entre les consuls et le seigneur de Mirepoix à propos de l'usage du communal de la rive gauche de l'Hers, Philippe de Riparia tient une parcelle (tenencia) sur ladite rive, près de la deuxième borne, à l'ouest du communal, Et secunda bodula affrontat, ab altano, in tenencia predicte ville, a circio, in tenencia dicti Bernardi de Bergua, et nostri, Philippi de Riparia, militis, senescalli predicti 22.

2. Autres sénéchaux nommés dans le cartulaire de Mirepoix

Au côté des sénéchaux de la seigneurie de Mirepoix figurent en silhouette dans le cartulaire de Mirepoix d'autres sénéchaux, venus d'autres seigneuries. Voici quelques notes relatives à ces autres sénéchaux.

Thome de Salesio

Thome de Salesio, domicellus [damoiseau], est le sénéchal de François de Lévis, seigneur de Lagarde et de Montségur. En octobre-novembre 1301, avec Hugo de Salesio, son frère ou son parent, il assiste, en tant que témoin et représentant de François de Lévis, encore mineur, à l'établissement du projet de partage de la succession de Gui III 23. Du 11 au 15 Juillet 1305, il assiste aux séances du compromis arbitral passé entre Jean de Lévis, seigneur de Mirepoix, et son frère François de Lévis, seigneur de Lagarde et Montségur, pour la division et la délimitation de la juridiction entre leurs fiefs de Mirepoix et de Paissels 24 ; puis au compromis arbitral passé entre Jean de Lévis et François de Lévis pour la division et la délimitation de la juridictionentre leurs fiefs de Mirepoix et de la Bastide de Saint André [aujourd'hui la Bastide de Bousignac] 25 ; puis au compromis arbitral passé entre Jean de Lévis et François de Lévis pour la division et la délimitation de la juridiction entre leurs fiefs de Mirepoix et de Besset 26 ; puis à la transaction entre les deux seigneurs concernant la leude de Lagarde ainsi que la propriété et la délimitation de divers biens à Cayrol, Roumengoux et autres lieux 27. On apprend à cette occasion qu'il est quondam de Bastida Den Richard, « anciennement de la bastide d'En Richard » 28, laquelle bastide d'En Richard n'est autre que la future bastide de Cazaux, fief de François de Béon Cazaux, gendre abhorré de Jean de Lévis Lomagne au XVIIe siècle 29, et partie aujourd'hui de la commune de Gueytes-et-Labastide.

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Vue de l'ancienne bastide d'En Richard en janvier 2016.

La famille de Salesio se trouve représentée quelques quarante ans plus tard à Laurac, dans l'Aude. Le cartulaire de Prouille mentionne ainsi Arnaldus de Salesio, miles [homme d'armes], qui doit payer unam libram et dimidiam cere, duos denarios tur. censuum [une livre et demie de cire et deux deniers tournois de cens] pour les terres qu'il tient du monastère de Prouille 30, du côté de Villa Savarico [Villasavary] ; Aymericus de Salesio, domicellus, et dominus Guillelmus de Salesio, miles, son frère, qui se trouvent requis de payer unam carteriam frumenti et XII denarios obolum sensuales, qui prestantur per plures personas pro quibusdam terris scitis in decimariis Sancti Martini de Sala, Sancti Petri de Terra Clapata, Sancti Petri de Lauracobuco, continentibus, tam ad mensuram de Villario quam de Lauraco, sex sestariatas terre, precio XV librarum turon., receptis de predictis omnibus instrumentis per dictum Jacobum, sub anno 1309 [une quarterée de froment et douze deniers une obole de cens, comme les autres personnes dont les terres se situent dans les décimaires de Saint Martin de Sala, Saint Pierre de Terra Clapata, Saint Pierre de Laurabuc, lesquelles terres comprenant, dans la mesure de Villasavary comme dans celle de Laurac, six setérées de terre, de quinze livres tournois de prix, reçues dudit Jacobus en 1309, d'après tous les documents précédents] 31 ; puis Petrus Fortis de Salesio, qui vend aux sœurs de Prouille quatuor ferios equi quos eisdem domicellis faciebant dicte sorores, cum suis foriscapiis, laudamiis et aliis dominacionibus feudalibus, pro parcionibus quas recipiunt in terris infrascriptis [quatre des chevaux non dressés que les sœurs de Prouille avaient pour lui, ainsi que les foriscapes, leudes et autres droits féodaux qui lui revenaient pour partie dans les terres susdites] 32.

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Entrée du village de Laurac-le-Grand en 1913.

Johannes de Cultura

Le 9 janvier 1273, le sénéchal de Béziers et de Carcassonne se trouve présent à la signature de la charte dans laquelle Guy III de Lévis concède à la population de Mirepoix divers nouveaux privilèges 33. Il a été nommé à ce sénéchalat par Saint Louis, en lieu et place et au grand dam de maître Hugo de Gaillone 34, puis maintenu dans cet office par Philippe III le Hardi.

Il s'agit de Johannes de Cultura, miles [homme d'armes], venu de Château-du-Loir [aujourd'hui partie de la commune nouvelle de Montval-sur-Loir, dans le département de la Sarthe], où, vers 1239, il faisait partie encore de la liste des chevaliers et vassaux de la chatellenie d'Oizé 35. Château-du-Loir et Oizé étaient alors fiefs de Jean Ier de Montfort, petit-fils de Simon IV de Montfort et d'Alix de Montmorency.

Les fidélités au souvenir du grand Simon de Montfort et des siens sont partout dans l'administration des terres de Mirepoix et de Carcassonne à la fin du XIIIe et au début du XIIe siècles.


  1. 16 août 1294. À Mirepoix, franchise du transport des produits de l'agrier (sauf du raisin). Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 27.↩︎

  2. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 345 et 350.↩︎

  3. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 352.↩︎

  4. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 355.↩︎

  5. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 356.↩︎

  6. En 1273, Guy III de Lévis concède à la population de Mirepoix divers nouveaux privilèges. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 15.↩︎

  7. 1295. Dissensions et controverses à Mirepoix à propos du contrôle des rives de l'Hers. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 15.↩︎

  8. Après l'inondation de juin 1289, charte de fondation de la nouvelle ville de Mirepoix. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 21.↩︎

  9. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 348.↩︎

  10. Ibidem, p. 379.↩︎

  11. Ibid., p. 361.↩︎

  12. Ibid., p. 379.↩︎

  13. Ibid., p. 373.↩︎

  14. Ibid., p. 379.↩︎

  15. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 356, et 372.↩︎

  16. En février 1304, délaissement de maisons au bord de la rue qui conduit au pont sur l'Hers. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 66.↩︎

  17. En juillet 1305, autre transaction entre Jean de Lévis et François de Lévis à propos de Lagarde, Roumengoux, etc.. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 78, 79, 80.↩︎

  18. En février 1307, compromis forestier entre les consuls de Mirepoix et le commandeur d'une maison du Temple. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 92.↩︎

  19. En juin 1307, nouveau compromis entre les consuls et le seigneur de Mirepoix à propos de l'usage du communal de la rive gauche de l'Hers. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 95, 97, 106.↩︎

  20. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 372.↩︎

  21. En juin 1307, nouveau compromis entre les consuls et le seigneur de Mirepoix à propos de l'usage du communal de la rive gauche de l'Hers. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 109.↩︎

  22. En juin 1307, nouveau compromis entre les consuls et le seigneur de Mirepoix à propos de l'usage du communal de la rive gauche de l'Hers. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 100.↩︎

  23. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 343.↩︎

  24. En juillet 1305, charte de délimitation des juridictions entre le fief de Mirepoix et celui de Paissels. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 69.↩︎

  25. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 73.↩︎

  26. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 78.↩︎

  27. En juillet 1305, autre transaction entre Jean de Lévis et François de Lévis à propos de Lagarde, Roumengoux, etc. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 86 et 87.↩︎

  28. Ibidem, p. 87.↩︎

  29. Cf. Christine Belcikowski, La trace du serpent. Au château de Mirepoix, Éditions L'Harmattan. 2014.↩︎

  30. Cartulaire de Notre Dame de Prouille, précédé d'une étude sur l'albigéisme languedocien aux XIIe et XIIIe siècles, Paris, A. Picard, 1907, p. 79.↩︎

  31. Ibidem, p. 110.↩︎

  32. Ibid., p. 171.↩︎

  33. En 1273, Guy III de Lévis concède à la population de Mirepoix divers nouveaux privilèges. Félix Pasquier, Cartulaire de Mirepoix, t. II, Toulouse, Imprimerie et librairie Edouard Privat, 1921, p. 14.↩︎

  34. Cf. M. Beugnot, Les olim ou Registres des Arrêts, rendus par la Cour du Roi sous les règnes de Saint Louis, de Philippe le Hardi, de Philippe le Bel, de Louis le Hutin, et de Philippe le Long, tome III, Deuxième Partie, Paris, Imprimerie nationale, 1848, pp. 985-986.↩︎

  35. Eugène Vallée, Archives historiques du Maine, tome VI, Cartulaire de Château-du-Loir, Le Mans, Société des Archives historiques du Maine, 1905, p. 130.↩︎

3 commentaires

#1  - Jacques Gironce a dit :

Nous ne savons pas, au sujet de Montcabirol, s'il s'agit de celui de la Bastide, ou celui de St-Julien...

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#2  - Jacques Gironce a dit :

La date de 1271, mentionnant la présence de B de Bordis, moine et sacriste du prieuré de Manses, confirme la présence de la vie monacale dans ce prieuré. Celui qui l'a supprimée n'est autre que Géraud de Montaut, abbé de Montolieu, natif de Mirepoix, mort en 1278. Cette suppression s'est donc faite entre ces deux dates, sans que nous n'en connaissions les raisons précises. Intéressant !

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#3  - Belcikowski a dit :

Merci de cette précision, Jacques.

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