A Mirepoix – Esthétique du désordre, énergie des ruines

 

 

 

La destruction de la friche industrielle de la Copami est déjà bien avancée. Seules s’élèvent encore, au milieu d’un chaos de gravats, deux tours aveugles, fortes justement de leur clôture sans regard. En arrière-plan, on croit voir, non plus le clocher de cathédrale Saint-Maurice, mais celui d’une cathédrale des gravats.

 

Après avoir contemplé ce tableau insolite, j’ai photographié mon ombre sur le trottoir. C’est la signature de la Dormeuse. Le vent d’autan soufflait très fort. Les cheveux volent !

Une réponse sur “A Mirepoix – Esthétique du désordre, énergie des ruines”

  1.  » They made themselves a fearful monument !
    The wreck of old opinions – things which grew
    Breathed from the birth of time : the veil they rent,
    And what behind it lay, all earth shall view.
    But good with ill they also overthrew,
    Leaving but ruins, wherewith to rebuild
    Upon the same foundation, and renew
    Dungeons and thrones, which the same hour re-fill’d,
    As heretofore, because ambition was self-will’d.  »

    George Gordon, Lord Byron, Childe Harold’s Pilgrimage, Canto the Third, LXXXII.

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