De gauche à droite : Lee Friedlander, New Mexico, 2001 ; Mirepoix, avril 2009.
D’où vient qu’ici ou là, contre toute attente, je trouve souvent à Mirepoix un air d’Amérique ?
Choses vues, choses lues, choses rêvées…
De gauche à droite : Lee Friedlander, New Mexico, 2001 ; Mirepoix, avril 2009.
D’où vient qu’ici ou là, contre toute attente, je trouve souvent à Mirepoix un air d’Amérique ?
1 commentaires au sujet de « Analogies – Le vide et le plein »
Martine Rouche
Ton titre montre que tu as déjà la réponse à ta question !…
Sinon, je propose : le fait de ne jamais être prisonnier du bâti, de pouvoir voir extra muros à partir de n’importe quel coin intra muros. On peut toujours sortir. Et partir, comme sur tes photos (et celles des gros camions, que tu avais mises plus tôt dans l’année) » on the road » …