"Même, j’ai retrouvé debout la Velléda
Dont le plâtre s’écaille au bout de l’avenue,
– Grêle, parmi l’odeur fade du réséda",
dit Verlaine dans les Poèmes saturniens 1. Je me suis souvenue de ces vers en passant au bord d’un vieux jardin, sis dans le quartier du Rumat. Inscrits dans la mémoire, les mots de la poésie soulignent la grâce modeste du paysage quotidien. "Ayant poussé la porte étroite qui chancelle…"
A Mirepoix, la Velléda
Notes:
- Paul Verlaine, "Après trois ans", in Poèmes saturniens, III, Melancholia, 1886 ↩︎
1 commentaires au sujet de « A Mirepoix, la Velléda »
Martine Rouche
Plus vont les choses, plus le Rumat est le centre du monde …