A gauche : Giorgio de Chirico, Piazza d’Italia, détail, 1913 ; à droite : ancien relais de poste, à Mirepoix, au Rumat.

"Un édifice, un jardin, une statue une personne nous font une impression. Il s’agit de reproduire cette impression le plus fidèlement possible", dit Chirico en 1913. Concernant le moment de "l’impression", Chirico constate son caractère d’énigme : "le moment demeure une énigme pour moi, car il est inexplicable.J’aime appeler aussi l’oeuvre qui en résulte, une énigme".