Vu par Louis Sébastien Mercier, Jacques Cazotte et Denis Diderot, le neveu de Rameau
Rédigé par Belcikowski Christine 1 commentaireJean François Rameau, fils d'un organiste de Dijon, né le 30 janvier 1716, mort le 7 février 1777 à Armentières, est le neveu du célèbre compositeur Jean Philippe Rameau. Personnage excentrique qui hantait le quartier du Palais-Royal et le café de la Régence, il a suscité l'intérêt, parfois la compassion, de Louis Sébastien Mercier, Jacques Cazotte et Denis Diderot. Il était né « plein de chant », dit Jacques Cazotte.
1. Le neveu de Rameau vu par Louis Sébastien Mercier dans son Tableau de Paris (1781)
Attribué à Joseph Aved (1702–1766) ou à Jean Baptiste Siméon Chardin (1699–1779), portrait du grand Jean Philippe Rameau (1683–1764), oncle de Jean François Rameau. Circa 1728.
« J'ai connu, dans ma jeunesse, le musicien [Jean Philippe] Rameau, c'était un grand homme sec et maigre, qui n'avait point de ventre, et qui, comme il était courbé, se promenait au Palais-Royal toujours les mains derrière le dos, pour faire son aplomb. Il avait un long nez, un menton aigu, des flûtes au lieu de jambes, la voix rauque. Il paraissait être de difficile humeur. À l'exemple des poètes, il déraisonnait sur son art.
On disait alors que toute l'harmonie musicale était dans sa tête. J'allais à l'Opéra, et les opéras de Rameau (excepté quelques symphonies) m'ennuyaient étrangement. Comme tout le monde disait que c'était là le nec plus ultra de la musique, je croyais être mort à cet art, et je m'en affligeais intérieurement, lorsque Gluck, Piccini, Sacchini, sont venus interroger au fond de mon âme mes facultés engourdies ou non remuées. Je ne comprenais rien à la grande renommée de Rameau ; il m'a paru depuis que je n'avais pas alors si grand tort.
Victor Fournel. Portrait de Jean François Rameau, avec violon et bicorne, d'après un portrait de 1821. In Les cris de Paris, types et physionomies d'autrefois, pp. 110-111. Firmin-Didot et Cie. Paris. 1887. « Ce fantasque personnage disparut sous le ministère du comte de Saint-Florentin, qu'il avait importuné de ses requêtes extravagantes et qui s'en débarrassa par une lettre de cachet. La musique n'était pas le seul art dont Jean François Rameau se fût occupé. En 1746, il était élève du graveur Wille. »
J'avais connu son neveu [Jean François Rameau], moitié abbé, moitié laïque, qui vivait dans les cafés, et qui réduisait à la mastication tous les prodiges de la valeur, toutes les opérations du génie, tous les dévouements de l'héroïsme, enfin tout ce que l'on faisait de grand dans le monde. Selon lui, tout cela n'avait d'autre but ni d'autre résultat que de placer quelque chose sous la dent.
Il prêchait cette doctrine avec un geste expressif et un mouvement de mâchoire très pittoresque ; et quand on parlait d'un beau poème, d'une grande action, d'un édit : “ Tout cela, disait-il, depuis le maréchal de France jusqu'au savetier, et depuis Voltaire jusqu'à Chabannes (1) ou Chabanon (2), se fait indubitablement pour avoir de quoi mettre dans la bouche, et accomplir les lois de la mastication. ”
Un jour, dans la conversation, il me dit : “ Mon oncle musicien [Jean Philippe Rameau] est un grand homme ; mais mon père, soldat, puis violon, puis marchand, était un plus grand homme encore ; vous allez en juger : c'était lui qui savait mettre sous sa dent !
Je vivais dans la maison paternelle avec beaucoup d'insouciance, car j'ai toujours été fort peu curieux de sentineller l'avenir. J'avais vingt-deux ans révolus, lorsque mon père entra dans ma chambre et me dit : — Combien de temps veux-tu vivre encore ainsi, lâche et fainéant ? Il y a deux années que j'attends de tes œuvres : sais-tu qu'à l'âge de vingt ans j'étais pendu, et que j'avais un état ?
Comme j'étais fort jovial, je répondis à mon père : — C'est un état que d'être pendu ! Mais comment fûtes-vous pendu, et encore mon père ?
— Écoute, me dit-il, j'étais soldat et maraudeur, le grand prévôt me saisit, et me fit attacher à un arbre. Une petite pluie empêcha la corde de glisser comme il faut, ou plutôt comme il ne fallait pas. Le bourreau m'avait laissé ma chemise, parce qu'elle était trouée : des houssards passèrent, ne me prirent pas encore ma chemise, parce qu'elle ne valait rien, mais d'un coup de sabre ils coupèrent ma corde, et je tombai sur la terre : elle était humide ; la fraîcheur remit mes esprits. Je courus en chemise vers le bourg voisin ; j'entrai dans une taverne, je dis à la femme : — Ne vous effrayez pas de me voir en chemise ; j'ai mon bagage derrière moi. Vous saurez .. Je ne vous demande qu'une plume, de l'encre, quatre feuilles de papier, un pain d'un sou et une chopine de vin. — Ma chemise trouée disposa sans doute la femme de la taverne à la commisération. J'écrivis sur les quatre feuilles de papier : Aujourd'hui, grand spectacle donné par le fameux Italien ; les premières places à six sous, et les secondes à trois. Tout le monde entrera, en payant. Je me retranchai derrière une tapisserie, j'empruntai un violon, je coupai ma chemise en morceaux, j'en fis cinq marionnettes que j'avais barbouillées avec de l'encre et un peu de mon sang ; et me voilà tour à tour à faire parler mes marionnettes, à chanter et à jouer du violon, derrière ma tapisserie. J'avais préludé en donnant à mon violon un son extraordinaire. Le spectateur accourut, la salle fut pleine ; l'odeur de la cuisine, qui n'était pas éloignée, me donna de nouvelles forces ; la faim, qui jadis inspira Horace, sut inspirer ton père.
Pendant une semaine entière je donnai deux représentations par jour, et sur l'affiche point de relâche. Je sortis de la taverne avec une casaque, trois chemises, des souliers et des bas, et assez d'argent pour gagner la frontière. Un petit enrouement, occasionné par la pendaison, avait disparu totalement ; de sorte que l'étranger admira ma voix sonore. Tu vois que j'étais illustre à vingt ans, et que j'avais un état. Tu en as vingt-deux, tu as une chemise neuve sur le corps, voilà douze francs ; sors de chez moi.
Ainsi me congédia mon père. Vous avouerez qu'il y avait plus loin de sortir de là que de faire Dardanus, ou Castor et Pollux (3). Depuis ce temps-là, je vois tous les hommes coupant leurs chemises selon leur génie, et jouant des marionnettes en public ; le tout pour remplir leur bouche. La mastication, selon moi, est le vrai résultat des choses les plus rares de ce monde. ”
Le neveu de Rameau, plein de sa doctrine, fit des extravagances et écrivit au ministre pour avoir de quoi mastiquer, comme étant fils et neveu de deux grands hommes. Le Saint-Florentin, qui, comme on sait, avait un art tout particulier pour se débarrasser des gens, le fit enfermer d'un tour de main, comme un fou incommode, et depuis ce temps, je n'en ai point entendu parler. » (4)
Portrait de Louis Sébastien Mercier (1740-1814). François Bonneville sculpsit. Paris. 1797.
2. Le neveu de Rameau vu par Jacques Cazotte dans sa préface à la Nouvelle Raméide (1788).
Jacques Cazotte s'était engagé à composer en un jour un opéra-comique sur le premier mot qui lui serait donné. Le mot donné était Sabots. Il gagna son pari. On raconte qu'il y fut aidé par un musicien qui improvisa la musique à mesure qu'il improvisait les paroles : ce musicien était Jean François Rameau. Il était né à Dijon, comme Jacques Cazotte.
« La Nouvelle Raméide est une plaisanterie faite par moi à l'homme le plus plaisant par nature que j'aie connu. Il s'appelait Rameau, était neveu du célèbre musicien, avait été mon camarade au collége, et avait pris pour moi une amitié qui ne s'est jamais démentie, ni de sa part, ni de la mienne.
Ce personnage, l'homme le plus extraordinaire de notre temps, était né avec un talent naturel de plus d'un genre, que le défaut d'assiette de son esprit ne lui permit jamais de cultiver.
Je ne puis comparer son genre de plaisanterie qu'à celui que déploie le docteur Sterne dans son Voyage sentimental. Les saillies de Rameau étaient des saillies d'instinct d'un genre si particulier, qu'il est nécessaire de les peindre pour essayer de les rendre. Ce n'étaient point des bons mots, c'étaient des traits qui semblaient partir de la plus profonde connaissance du cœur humain.
Sa physionomie, qui était vraiment burlesque, ajoutait un piquant extraordinaire à ses saillies, d'autant moins attendues de sa part que, d'habitude, il ne faisait que déraisonner.
Ce personnage, né musicien, autant et plus peut-être que son oncle, ne put jamais s'enfoncer dans les profondeurs de l'art ; mais il était né plein de chant et avait l'étrange facilité d'en trouver, impromptu, de l'agréable et de l'expressif, sur quelques paroles qu'on voulût lui donner ; seulement, il eût fallu qu'un véritable artiste eût arrangé et corrigé ses phrases et composé ses partitions.
Il était de figure aussi horriblement que plaisamment laid, très souvent ennuyeux, parce que son génie l'inspirait rarement ; mais, si sa verve le servait, il faisait rire jusqu'aux larmes.
Il vécut pauvre, ne pouvant suivre aucune profession. Sa pauvreté absolue lui faisait honneur dans mon esprit. Il n'était pas absolument sans fortune, mais il eût fallu dépouiller son père du bien de sa mère, et il se refusa à l'idée de réduire à la misère l'auteur de ses jours, qui s'était remarié et avait des enfants. Il a donné, dans plusieurs autres occasions, des preuves de la bonté de son cœur. Cet homme singulier vécut passionné pour la gloire, qu'il ne pouvait acquérir dans aucun genre.
Un jour il imagina de se faire poète, pour essayer de cette façon de faire parler de lui. Il composa un poème sur lui-même, qu'il intitula la Raméïde, et qu'il distribua dans tous les cafés ; mais personne n'alla le chercher chez l'imprimeur. Je lui fis l'espièglerie de composer une seconde Raméïde. Celle que je vous dénonce pour que vous tâchiez de la trouver dans quelque recueil. Le libraire la vendit à son profit ; et Rameau ne trouva pas mauvais que j'eusse plaisanté de lui, parce qu'il se trouva assez bien peint. Cet homme est mort aimé de quelques-uns de ceux qui l'ont connu, dans une maison religieuse, où sa famille l'avait placé, après quatre ans d'une retraite qu'il avoit prise en gré, et ayant gagné le cœur de tous ceux qui, d'abord , n'avaient été que ses geôliers. Je fais ici avec plaisir sa petite oraison funèbre, parce que je tiens encore à l'idée qu'il m'a laissée de lui. » (5)
Jean Baptiste Perronneau (1715–1783). Portrait de Jacques Cazotte, entre 1760 et 1764. National Gallery. London.
3. Le neveu de Rameau vu par Denis Diderot dans Le Neveu de Rameau (entre 1762 et 1773)
« Qu’il fasse beau, qu’il fasse laid, c’est mon habitude d’aller sur les cinq heures du soir me promener au Palais-Royal. [...]. Si le temps est trop froid ou trop pluvieux, je me réfugie au café de la Régence. [...].
Un après-dîner, j’étais là, regardant beaucoup, parlant peu et écoutant le moins que je pouvais, lorsque je fus abordé par un des plus bizarres personnages de ce pays, où Dieu n’en a pas laissé manquer.
C’est un composé de hauteur et de bassesse, de bon sens et de déraison ; il faut que les notions de l’honnête et du déshonnête soient bien étrangement brouillées dans sa tête ; car il montre ce que la nature lui a donné de bonnes qualités sans ostentation, et ce qu’il en a reçu de mauvaises sans pudeur.
Au reste, il est doué d’une organisation forte, d’une chaleur d’imagination singulière, et d’une vigueur de poumons peu commune. Si vous le rencontrez jamais et que son originalité ne vous arrête pas, ou vous mettrez vos doigts dans vos oreilles, ou vous vous enfuirez. Dieux, quels terribles poumons !
Rien ne dissemble plus de lui que lui-même. Quelquefois il est maigre et hâve comme un malade au dernier degré de la consomption ; on compterait ses dents à travers ses joues, on dirait qu’il a passé plusieurs années sans manger, ou qu’il sort de la Trappe. Le mois suivant, il est gras et replet comme s’il n’avait pas quitté la table d’un financier, ou qu’il eût été renfermé dans un couvent de Bernardins. Aujourd’hui en linge sale, en culotte déchirée, couvert de lambeaux, presque sans souliers, il va la tête basse, il se dérobe ; on serait tenté de l’appeler pour lui donner l’aumône. Demain poudré, chaussé, frisé, bien vêtu, il marche la tête haute, il se montre, et vous le prendriez à peu près pour un honnête homme : il vit au jour la journée, triste ou gai, selon les circonstances.
Son premier soin le matin, quand il est levé, est de savoir où il dînera ; après dîner, il pense où il ira souper. La nuit amène aussi son inquiétude : ou il regagne à pied un petit grenier qu’il habite, à moins que l’hôtesse, ennuyée d’attendre son loyer, ne lui en ait redemandé la clef ; ou il se rabat dans une taverne du faubourg, où il attend le jour entre un morceau de pain et un pot à bière. Quand il n’a pas six sous dans sa poche, ce qui lui arrive quelquefois, il a recours, soit à un fiacre de ses amis, soit au cocher d’un grand seigneur, qui lui donne un lit sur de la paille, à côté de ses chevaux. Le matin, il a encore une partie de son matelas dans ses cheveux. Si la saison est douce, il arpente toute la nuit le Cours (6) ou les Champs-Élysées. Il reparaît avec le jour à la ville, habillé de la veille pour le lendemain, et du lendemain quelquefois pour le reste de la semaine.
Je n’estime pas ces originaux-là ; d’autres en font leurs connaissances familières, même leurs amis. Ils m’arrêtent une fois l’an, quand je les rencontre, parce que leur caractère tranche avec celui des autres, et qu’ils rompent cette fastidieuse uniformité que notre éducation, nos conventions de société, nos bienséances d’usage, ont introduite. S’il en paraît un dans une compagnie, c’est un grain de levain qui fermente, et qui restitue à chacun une portion de son individualité naturelle. Il secoue, il agite, il fait approuver ou blâmer ; il fait sortir la vérité, il fait connaître les gens de bien, il démasque les coquins ; c’est alors que l’homme de bon sens écoute, et démêle son monde. » (7)
Dmitri Levitzky (1735–1822). Portrait de Denis Diderot en 1773. Musée d'Art et d'Histoire de Genève.
4. Mort et sépulture de Jean François Rameau
7 février 1777. Sépulture de Jean François Rameau. AD59. Armentières. 1761-1780. Document 5Mi039R033. Vue 460.
« Le 5 février 1777, le médecin et le chirurgien jurés ont constaté la mort du nommé Rameau dans la maison des Bons Fils ». Il est enseveli au cimetière d'Armentières le 7 février 1777. Il avait été marié.
Diderot rapporte dans Le Neveu de Rameau comment ledit neveu parlait de son épouse disparue :
« Ma pauvre petite femme était une espèce de philosophe ; elle avait du courage comme un lion. Quelquefois nous manquions de pain, et nous étions sans le sou ; nous avions vendu presque toutes nos nippes. Je m’étais jeté sur le pied de notre lit ; là je me creusais à chercher quelqu’un qui me prêtât un écu que je ne lui rendrais pas. Elle, gaie comme un pinson, se mettait à son clavecin, chantait et s’accompagnait ; c’était un gosier de rossignol, je regrette que vous ne l’ayez pas entendue. Quand j’étais de quelque concert, je l’emmenais avec moi ; chemin faisant, je lui disais : — Allons, madame, faites-vous admirer, déployez votre talent et vos charmes, enlevez, renversez… Nous arrivions ; elle chantait, elle enlevait, elle renversait. Hélas ! je l’ai perdue, la pauvre petite ! Outre son talent, c’est qu’elle avait une bouche à recevoir à peine le petit doigt ; des dents, une rangée de perles ; des yeux, des pieds, une peau, des joues, des jambes de cerf, des mains et des bras à modeler. Elle aurait eu tôt ou tard le fermier général au moins. C’était une démarche, une croupe ! ah ! Dieu, quelle croupe !
Puis le voilà qui se met à contrefaire la démarche de sa femme. Il allait à petits pas, il portait sa tête au vent, il jouait de l’éventail, il se démenait de la croupe ; c’était la charge de nos petites coquettes, la plus plaisante et la plus ridicule.
Puis reprenant la suite de son discours, il ajoutait : — Je la promenais partout, aux Tuileries, au Palais-Royal, aux boulevards. Il était impossible qu’elle me demeurât. Quand elle traversait la rue, le matin, en cheveux et en pet-en-l’air, vous vous seriez arrêté pour la voir, et vous l’auriez embrassée entre quatre doigts sans la serrer. Ceux qui la suivaient, qui la regardaient trotter avec ses petits pieds, et qui mesuraient cette large croupe dont les jupons légers dessinaient la forme, doublaient le pas ; elle les laissait arriver, puis elle détournait prestement sur eux ses deux grands yeux noirs et brillants, qui les arrêtaient tout court : c’est que…
Mais, hélas ! je l’ai perdue, et toutes mes espérances de fortune se sont évanouies avec elle. Je ne l’avais prise que pour cela, je lui avais confié mes projets, et elle avait trop de sagacité pour n’en pas concevoir la certitude et trop de jugement pour ne les pas approuver…
Et puis le voilà qui sanglote et qui pleure, en disant : — Non, non, je ne m’en consolerai jamais. Depuis, j’ai pris le rabat et la calotte. » (8)
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1. Marc Antoine Jacques Rochon de Chabannes, né en 1730 à Paris, mort en 1800, auteur de comédies et d'opéras comiques.
2. Michel Paul Guy de Chabanon, né à Saint-Domingue en 1730, mort à Paris le 10 juin 1792, théoricien de la musique et homme de lettres ; élu à l'Académie Française en 1779.
3. Dardanus, ou Castor et Pollux : deux opéras du grand Jean Philippe Rameau.
4. Note de Louis Sébastien Mercier, reprise in Oeuvres complètes de Diderot : revues sur les éditions originales.... Étude sur Diderot et le mouvement philosophique au XVIIIe siècle. Tome V, p. 381. Par J. Assézat [et Maurice Tourneux]. Garnier frères. Paris. 1875-1877.
6. Jacques Cazotte. De l'Auteur du poème de la Nouvelle Raméide aux Éditeurs de cette édition de ses Œuvres. In Oeuvres badines et morales de M. Cazotte. Tome VII, p. 78 sqq. Sans nom d'éditeur. Londres. 1788. Texte cité par Gérard de Nerval dans Les Illuminés. In Œuvres complètes. Tome IV, p. 188. MicheL Lévy Frères, Éditeurs. Paris. 1868.
6. Il s'agit du Cours la Reine (VIIIe arrondissement), créé par ordre de Marie de Médicis.
7. Denis Diderot. Le Neveu de Rameau. Texte établi par Charles Asselineau. Poulet-Malassis, Éditeur. Paris. 1862.
8. Ibidem.